Rome, l’éternelle

Notre deuxième étape nous conduit de Venise à Rome. Ressenti sur la Ville éternelle…

Le 10 octobre, nous rejoignons la capitale italienne par le train de nuit (21 heures – 6 heures), sans couchette. Nous arrivons donc à Rome au petit matin après une nuit très moyenne, à moitié assis, à moitié couchés et sérieusement contrôlés (passe sanitaire, pièces d’identité, billets…). Surprise, au petit matin Rome nous accueille avec une fraîcheur appuyée (12°C). Nous tuons le temps jusque 8 H 30 heure à laquelle nous déposons nos sacs à dos dans le B&B, situé à 5 mn de la gare, réservé pour quatre nuits. La découverte de la capitale italienne peut commencer !

Nous achetons un petit plan de Rome et décidons de cheminer à pied vers le Tibre et les Ruines antiques du Colisée. Nous apprécions avec le soleil du matin, les larges avenues, le désordre bruyant de la circulation italienne, l’intensité différente de Venise marquée par un espace plus maîtrisé. Malgré ses clochards étalés devant la gare de Termini et ses rues défoncées qui secouent les bus comme des shakers, Rome propose un mille feuilles où se mêlent vastes artères principales et apparitions d’innombrables vestiges antiques. Les statues et fontaines ponctuent les quartiers, tandis que les plazzas, chiesas, basiliques s’enfilent telles des perles pour magnifier la beauté de la capitale.

Durant notre séjour nous marcherons beaucoup au sein de ces dédales abondamment vivants, flirterons avec les collines et leurs parcs nous offrant de beaux panoramas, errerons au bord du Tibre avalés par les circulations nerveuses. Nous nous laisserons happer par la magnificence de Saint-Pierre-de-Rome et du Vatican (jardins, pinacothèques, chapelle Sixtine) et tenterons des déambulations nocturnes dans des ruelles dignes de Saint-Germain des Près. Revenant fourbus à notre logement, nous dinerons souvent au Mercato centrale, sorte de cafétéria d’excellence, notre cantine en somme. Nous y dégusterons, avant de rentrer le soir, de délicieuses spécialités italiennes et plats japonais, dans une ambiance cool où la ferveur culinaire n’est pas un vain mot.

Rome, l’urbaine et grandiloquente, nous a donné à voir de splendides images où se mêle passé et présent, sans qu’il soit vraiment possible de les assimiler toutes, tant elles sont abondantes.

7 réflexions sur “Rome, l’éternelle”

  1. Elisabeth PARMENTIER

    Bonjour vous deux,
    c’est un réel plaisir de lire et regarder les photos magnifiques de votre voyage (j’ai apprécié la photo de l’éléphant en marbre) !!
    J’ai hâte avec Agathe de vivre avec vous votre avancée dans votre voyage !
    bisous
    Elisabeth et Agathe

    1. Eh! Coucou Zab et Agathe !
      Ah bien si tu écris Zab, c’est que tu as reçu le bouquin 😀
      Je suis contente que vous appréciez toutes les deux le blog ! Connaissant ta passion pour les pachidermes, ça ne m’étonnes pas que tu aimes l’éléphant du Bernin, en vrai il est magnifique !
      Sinon on va essayer d’être régulier et de publier un article par semaine, le lundi.
      Gros bisous !
      Katia

  2. C est un grand et réel plaisir que de vous suivre…
    Mon petit voyage de la journée !
    Bisous à vous deux
    Catherine (fnacCannes)

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